Voici une publicité d’un autre temps, où les arguments commerciaux étaient bien différents de ceux d’aujourd’hui. Je l’ai trouvé dans un ancien magazine “L’auto Journal” paru il y a 53 ans ! A l’époque, le principal argument de vente de Mercedes était d’avoir encore des chevaux sous la pédale en roulant à 170 km/h. Aujourd’hui, ce serait limite une incitation au crime contre l’humanité !
En 72, une bonne voiture se résumait donc en trois points, puissance, sécurité et confort. Il suffirait de rajouter une consommation raisonnable, et je signerai encore en 2025 ! Pas vous ?

Voici la retranscription du texte de la publicité pour ceux qui auraient les yeux datant de l’époque cette bravo 350 SL :
Au volant, il y en a pour qui conduire, c’est avoir en permanence le “pied au plancher”.
Et puis, il y en a d’autres (dont vous êtes sans doute) qui aimeraient pouvoir mobiliser la puissance de leur moteur au moment de doubler. Ils aimeraient aussi arriver frais et dispos après de longues étapes, voir surgir des nids de poules sans rentrer la tête dans les épaules, converser sans crier, même à 170 km/h.
Pour eux, conduire c’est faire preuve de réserve. Réserve de puissance, de sécurité, de confort.
Une triple réserve que Mercedes-Benz vous offre au plus haut degré.
Habitacle indéformable, sièges anatomiques, adhérence des roues par essieu à diagonale, freinage à double circuit…; en 136 points différents, les normes de sécurité les plus draconiennes sont satisfaites.
Et ceci sur chacun des 25 modèles de la gamme Mercedes : berlines, coupés, cabriolets, limousines, pullmans;
moteurs diesel, moteurs à essence (à carburateur ou à injection – mécanique ou électronique);
4, 6 ou 8 cylindres; de 2 à 6,3 litres; 60 à 300 Ch. SAE;
boîte mécanique ou automatique.
Si vous êtes de ceux qui entendent concilier puissance et décontraction, plaisir de conduire et maîtrise de sol, vous êtes déjà l’homme d’une Mercedes.
Alors? – Accomplissez-vous totalement.
Offrez-vous une Mercedes.