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Notre parcours des voitures du musée ne pourra présenter une liste exhaustive des modèles présents et nous avons opté pour une présentation en catégories arbitraires : les voitures amphibies, les marques disparues, les voitures de luxe et les « tacots ».
Les voitures amphibies
Le musée présente une collection impressionnante et peu courante de voitures amphibies. On y découvre des modèles amphibies voire électriques datant des années 1940/1950 comme l’amphicar, les modèles Voisin ou encore la Salmson amphibie-électrique de la seconde guerre mondiale.

Une Hydromobile de 1942
Les marques disparues du musée
Le musée présente non seulement les voitures anciennes de marques existantes mais aussi et surtout de marques disparues et par la même parfois inconnues du public ; de surcroît lorsqu’elles sont de nationalité étrangère.

Une René Bonnet Aérojet LM6
Ainsi, les visiteurs peuvent (re)découvrir des Deutsch et Bonnet, Delahaye, Desoto, Facel Vega, Hommell, Hotchkiss, Lafayette, Matra, Panhard, René Bonnet, Rispal, Talbot, Trabant, Tracta, Umap ou encore Voisin.
Les voitures de luxe de Lohéac
La collection d’automobiles de M. Hommell recense de magnifiques modèles de voitures de luxe, anciens et plus récents : Cadillac, Rolls Royce, Aston Martin, Jaguar, mais aussi rares comme la Venturi.

Une Maserati 3500 GTI de 1959
Les « tacots » du manoir de l’automobile
Loin de là l’idée de faire dans le péjoratif, les tacots étaient bien au contraire présents et ce pour notre plus grand plaisir.

Une Ford T de 1914
Pouvoir profiter de véhicules aussi anciens est précieux et nous n’en avons perdu aucune miette. Nous avons aimé tout particulièrement le taxi Renault AGI, qui sillonna d’ailleurs pendant la 1ère guerre mondiale la voie sacrée.

Un taxi Renault AGI de 1907
Et bien d’autres encore !

Une Citroen Petite Rosalie record 300 000 km, de 1933

Une Marathon Corsair de 1953

Une Volkswagen Hebmuller de 1949